donne nous egalement quelques chiffres

odra arrete de tout generalisé,pour info les 2 managers qui sont sur ma tournée ont 15 et 10 ans d ancienneté,et ce n est pas un exeption.

maintenant c est exact que sur certaines il n y a que des jeunes avec tres peu d experience,mais bon il ne restera pas "jeune" toute sa vie non plus

par contre un melange "jeune","vieux" aurait ete plus adequate ca c est vrai

ils passent tout simplement les petits casinos en vival
car vu le chiffre, cela leur coute trop cher de payer
un couple de gérant plus les cotisations, et pour ceux
qui reprennent en vival c'est la cata. mon manager a eu
la franchise de me le dire, à moins de 25000 euros par
mois ce n'est pas valable et encore ..!!!!!

Je n'ai rien contre les petits jeunes qui débutent, mais il me semble que ce n'est pas très sérieux, de mettre des débutants, sur l'accompagnement de franchisés, surtout, sur un réseau tel que vival. Sortir d'une école de commerce, et savoir établir un buisness plan, ne leur donnera pas la compétence nécessaire d'un commerçant.
Gérer efficacement les ressources humaines, n'est toujours pas une priorité stratégique dans les multinationales. Pourtant c'est bien connu,c'est avec les petits ruisseaux que naissent les grandes rivières. Il n'y a qu'à regarder la progression de certains reseaux de franchises.
C'est parfois impressionnant comme la GD est en retard sur ce point malgrès les tentatives de certains consultants RH qui le martèlent en permanence.
Pourtant simpliste peut être, mais mettre sur le terrain pour transmettre leur savoir des "vieux" qui ont de la bouteille, sur le secteur donné, serait nettement plus efficace, en particulier sur ce type de structure.

Oui j'avais bien lu votre remarque BEHH mais dans ce type de poste, celà ne me semble pas approprié. Parce que le débutant, aura de toute façon un secteur à accompagner, et prétendre accompagner un exploitant quand on a jamais exploité sois même, c'est totalement inconscient.
Le problème, c'est qu'en ce qui concerne la partie haute de l'iceberg , pour eux, ce n'est qu'une question de gestion, alors que c'est une capacité à adapter un concept à un secteur et clientèle de très forte proximité. Qualité, qui ne peut s'acquérir qu'avec expériences, connaissances du terrain et un minimum de compétences psychologiques, que développent n'importe quel commerçant digne de ce nom.