bsr hardator,
si c'est une info ça demande confirmation et precision.En effet casino a des echeances de dette plutot urgente à résoudre donc ce que tu dis signifierait que casino se recentre sur les petites et moyennes surfaces,en echange des geant?
ci-joint un article de challenges
Challenges.fr | 02.02.2006
De grandes manœuvres en vue en 2006 : voilà ce que prévoit le cabinet Deloitte pour la grande distribution mondiale au cours des prochains mois, sur la lancée des 50 mariages qui ont lieu parmi les 250 plus grands du secteur ! Cette année, ce sera au tour de la France d’entrer dans la danse. « Le marché y est très difficile pour tout le monde : la consommation ne s’améliore pas, la concurrence sur les prix va s’accélérer. Il y a peut-être trop d’acteurs, et un processus de consolidation du marché ne serait pas surprenant » , avance Gilles Goldenberg, associé chez Deloitte France. Alors qui ?
Les indépendants (Système U, Leclerc, Intermarché) sont exclus de fait. Groupe familial, Auchan ne se sent pas concerné. Carrefour, le numéro deux mondial, fait l’objet depuis des années de rumeurs sur son éventuel rapprochement avec le numéro un, Wal-Mart, trois fois plus gros que lui.
Mais c’est vers Casino que les regards se tournent aujourd’hui. Après l’annonce de son chiffre d’affaires 2005, le 26 janvier, marqué par un avertissement sur son résultat, le cours de Bourse a dévissé de 8 %. Depuis deux ans, ses performances boursières sont médiocres : l’action, à 82 euros en février 2004, était à moins de 50 euros fin janvier 2006, soit une baisse de 40 %, quand le Cac 40 a progressé de 40 % ! Et l’accélération des ventes d’actifs – entrepôts et 25 % des galeries commerciales en octobre, cafétérias sans doute aujourd’hui – montre que l’entreprise est « en position d’écouter des offres » .
Après l’annonce de son chiffre d’affaires 2005, le 26 janvier, marqué par un avertissement sur son résultat, le cours de Bourse a dévissé de 8 %. Depuis deux ans, ses performances boursières sont médiocres : l’action, à 82 euros en février 2004, était à moins de 50 euros fin janvier 2006, soit une baisse de 40 %, quand le Cac 40 a progressé de 40 % ! Et l’accélération des ventes d’actifs – entrepôts et 25 % des galeries commerciales en octobre, cafétérias sans doute aujourd’hui – montre que l’entreprise est « en position d’écouter des offres » .
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