il y a un vrai soucis en france de toute façon. Que ça soit aux fruits et légumes, et tous les autres secteur du magasin, le consommateur paie trop chèr. Les fournisseurs sont acculés par les demandes centrales jusqu'à 40 % de remise arrière. Pour peu que vous souhaitiez travailler avec leclerc, c'est un budget supplémentaire en magasin et en sca. Mais il ne faut pas oublier quand même, qu'à la fin ce sont les consommateurs qui paient ces remises arrières, d'où inflation des prix. Et là on rentre dans un discours où le serpent se mort la queue. Evidemment, dans l'inflation le pétrole et les cigarettes occupent une place non négligée dans les statistiques, mais nous pourrions quand même faire baisser ces prix. De quelle manière en libéralisant les prix, système convoyé par leclerc, c'est quand même dangereux, il y aura de la casse dans plusieurs enseignes et au niveau des artisans. La loi galland est à revoir de toute façon tant qu'il y aura cette législation oppressive, pour le consommateur avant tout, les prix ne seront pas en baisse. Cependant n'entrons pas dans l'hypocrisie des gms, car les prix sont de toute façon hors marché sur les produits français, ils sont exploités en produits haut de gamme étant donné une législation exigente sur l'utilisation des pesticides. En outre la main d'oeuvre représente une part non négligeable, je suis entièrement d'accord, mais le grand écart de prix ne peut pas être uniquement dû à ce périmètre.
|
|