Distrib2 a dit:
3 phrases qui résument assez bien "sa" critique et "Dieu" :
"Permettez-moi d’être un peu sévère, mais l’équipe dirigeante
précédente était incompétente en matière de Grande Distribution." :
--> Que le Comité d'administration et le Comité exécutif (qui ont
nommé la précédente équipe dont 95% reste en poste) sachent qu'aux
yeux de Plassat, ce sont des nuls ! ils vont appréciés !(Arnault,
Breton, Taittinger ...)
et
" Par contre, cette fameuse décentralisation que certains regrettent
ne doit pas être un prétexte à l’indiscipline. Celle-ci n’est pas de
mise. Je ne permettrai pas aux gens de remettre en cause ce qui aura
été décidé." :
--> Mieux vaux être d'accord avec lui ! Autoritaire vous dites ? ^^
et puis, la perle :
"Le groupe est malade dans sa tête…mais pas tant que ça en réalité" :
--> Allez, un peu de méthode Coué et çà repart !
Maladroit et assez grotesque. Ce ne sont pas des allégations dignes
d'un "grand" patron !
Courage !
C'est pûrement la place qu'il devait prendre ! Nous ne lisons pas les mêmes choses...
Point 1) Les 95% restant là ont pris une désision, celle de changer, le constat que ca ne marchait pas ils n'ont donc pas attendu le discourt de Plassat pour le faire... De plus humainement parlant (ce qui semble être un gros problème dans ce groupe) il se place d'emblée par cette phrase au coté des salariés, ce qui lui donnera surement dans un futur proche un angle d'action pour faire passer des "changements" qui ne seront pas forcément évidents.
Point 2) C'est clairement la suite logique, le prélude aux changements pas évidents... Et oui cela peut sembler basique et autoritaire. Mais dorénavant c'est lui le patron.
Une différence déja entre l'actuel et l'ancien. Plassat semble cacher par ces mots qu'il a des solutions et qu'il va prendre des désisions. Lars c'était plutot "cela me conforte dans l'idée...etc" En gros c'était quoi le chemin ??
On attend d'un patron une route et non des phylosophie! Plassat se place clairement dans celui qui donnera une route. Bonne ou mauvaise seul l'avenir le dira mais il en a déja une.
Point 3) Encore la suite logique, que ce soit lui ou un autre la situation de ce groupe obligeait à nommer quelqu'un qui "ferait croire", quelqu'un qui malgré la situation "ammènerait une solution".
Cette phrase peut sembler basique mais la encore il se place clairement dans ce que l'ont attend de lui: C'est dédramatiser la situation. Quand vous arriver chez le médecin vous n'attendez pas qu'il vous dise que c'est catastrophique et dramatique ce qui vous arrive, vous attendez qu'il vous aide à vous soigner!
Et enfin sur l'homme que j'ai connu chez Casino et de ce que je connais sur son après et son avant. On peut au moins lui donner le crédit de réussite et donc lui autoriser ce phrasé, car il fait partie des personnes pouvant l'employer dans la mesure ou il a plus réussi qu'échoué... Et à un moment donné on peut tourner chaque choses ou mots dans tous les sens mais seul la réussite compte et comptera. Laissons la politique aux politiques, il s'agit la d'une entreprise et les mots justes sont souvent ceux qui font avancer une entreprise, non dits ou autres ne servent à rien !